N’oubliez pas les paroles : Pierre-Yves balance le mot qui était écrit partout sur ses bulletins scolaires
Après une série de 52 participations, Virginie a finalement dû tirer sa révérence dans N’oubliez pas les paroles, suite à son élimination par Caroline. Mais la victoire n’aura été que de courte durée car, le 18 juillet 2025, un jeune gaillard longiligne aux chemises farfelues l’a détrôné sans mal. Il s’agit de Pierre-Yves, un artiste lyonnais qui a troqué sa carte étudiante dans une école de commerce pour une pile de canevas et de pinceaux. En huit jours, il est parvenu à cumuler dix victoires et 42 000 euros de gains. Un palmarès aussi constant qu’impressionnant, et qui pourrait bien l’emmener jusqu’aux Masters !
Pierre-Yves balance le mot écrit partout sur ses bulletins scolaires
S’il fallait dresser un honnête portrait de Pierre-Yves, son amour pour les plantes, ses tenus colorés et son air légèrement à l’ouest seraient sans doute de premières bonnes pistes. “Artiste, rêveur, tête en l’air”, ont d’ailleurs été les termes privilégiés par Nagui pour le décrire lors du premier épisode diffusé le 24 juillet 2025. Un diagnostic confirmé par le Maestro lui-même, qui a avoué avoir été parfois mal jugé par ses professeurs à cause de son tempérament : “Déjà dans mes bulletins le mot nonchalant est beaucoup revenu, on ne va pas se mentir”. Mais ce ne sont pas les seuls à l’avoir accablé de cette erreur de jugement.
Pierre-Yves, viré d’un emploi à cause de son caractère rêveur
Ses professeurs n’ont effectivement pas été les seuls à l’avoir dans le viseur. Alors employé dans un magasin bio, Pierre-Yves a été licencié par sa patronne avant la fin de sa période d’essai. “Elle me convoque, comme convenu, et elle me dit que j’ai l’air trop perché et que quand elle me voit, on a l’impression que je débarque et que je ne sais pas ce que je fous là”, a-t-il raconté à un Nagui sous le choc. Une petite claque professionnelle qui ne l’a pas empêché de rebondir avec succès ! À cet égard, l’animateur s’est permis d’adresser un message salé à l’ancienne patronne de Pierre-Yves : “Ma chère dame, il est tellement perché que, regardez, grâce à vous, il peut maintenant appliquer son art et créer des toiles comme par exemple ce très joli coucher de soleil (…) Voilà madame, dans le magasin bio, pensez à respecter la sensibilité des uns et des autres”. Un message qui a réchauffé le coeur de Pierre-Yves, qui compte se procurer avec ses gains de coûteuses plantes à fleurs originaires des jungles d’Extrême-Orient pour tenir compagnie à ses trois orchidées baptisées Céline, Dalida et Mylène.